dimanche 15 juillet 2018

Et 3 petits pas de plus...

Les résultats sont tombés pour les 5 matières que j'ai (vite) tenté de valider début juin...
3 sont validées !
Communication et Influence 14
Neurobiologie des comportements 15
Enquête : Questionnaires et Echelles 16

Bon... Allez, on se re-mobilise... Il est encore possible de valider 5 matières sur table début septembre et 1 matière à distance...

Une L3 conditionnelle semble envisageable pour la rentrée prochaine...
En tout cas c'est l'objectif ! 😊




samedi 23 juin 2018

Le temps qui passe n'efface pas la détermination !

Et là, tu réalises que ça fait bientôt 2 ans que tu n'as pas posé de mots sur ce blog !

2017 a été une année où je n'ai pu validé qu'une matière faute de temps mais avec un 17 à la clé !
L'épreuve portait sur ma capacité à pouvoir expliquer pourquoi je m'étais inscrite en licence de psycho.
Et, pour illustrer cela j'avais fait un "beau" poster ;)



Un travail qui m'a permis d'identifier que ce qui me correspondait vraiment était de me diriger vers une spécialisation en Art Thérapie ! 

En 2018, j'ai essayé de valider en juin 5 matières, et cela a été possible uniquement parce que les grèves des étudiants ont "obligé" à envisager les partiels à distance, car mon emploi du temps ne me permettait pas de pouvoir être 3 jours sur Paris... On attends les résultats ;)

Objectif de septembre : continuer de valider au maximum pour espérer être à la rentrée prochaine en L3 conditionnelle (c'est à dire commencer la L3 même s'il reste quelques partiels à valider en L2)

On y croit !

mercredi 31 août 2016

Du devoir sur le burnout à la (RE)décision de choisir d'être heureux chaque jour...

Ah ! Ah ! Ah ! Quel est le comble d'une étudiante en psycho - chef d'entreprise ?
S'acharner à rendre un devoir sur le burnout, et étudier jusqu'à 3 heures du mat plusieurs soirs de suite et bosser la journée pour ses clients... et réaliser qu'il y a un truc qui cloche, non ?

C'est en tout cas ce que m'a dit ma petite voix intérieure...
"Eh, tout va bien ! Tu vas y arriver à ton rythme. N'oublie pas que tu t'étais dit ICI que tu étudierais dans la joie... Es-tu obligée de "burnouter" pour faire ton devoir sur le burnout ?"...
Et alors, la réponse est arrivée clairement, je ferai ce devoir l'année prochaine et je me concentre sur les exams de septembre !

Et en prime... depuis, tous les matins, je me demande :
"De quoi ai-je vraiment envie aujourd'hui ? Qu'est-ce qui va rendre le plus heureuse ? Qu'est-ce que je serai heureuse et fière d'avoir accompli aujourd'hui ?"... et c'est plutôt pas mal de prendre conscience de ses VRAIES envies, et non de courir après les "obligations" que l'on se met souvent soi-même (en plus !)... Merci le devoir sur le burnout que je n'ai pas rendu !!!

Mais bon ! Je n'ai pas tout perdu !! J'ai appris que pour mesurer le Burnout, il y a le MASLACH BURNOUT INVENTORY et le SHIROM-MELAMED BURNOUT MEASURE.

Prenez soin de vous et à très vite pour la suite ! 

dimanche 31 juillet 2016

Quand émotion rime avec "prise de décision" !

Dans la série "C'est l'été, dépêche-toi et essaye de valider tes EC de psycho en septembre et surtout ne change rien et bosse à la dernière minute"... Me voici de retour !

Hier samedi 30 juillet je réalise que pour déposer en ligne le devoir sur "Emotion et prise de décision", il me reste tout juste 24h et je n'ai encore rien fait... Pas bien... Est-ce que je laisse tomber ? NONNN !

1 cours, 3 chapitres, 45 pages - 1 devoir sur 1 article universitaire en anglais à choisir... aller, je ne suis plus à ça prêt et je choisis un article de 29 pages !
Comme d'hab, la nuit est mon amie (au moins jusqu'à 3h du mat), un petit dodo de 5 heures et c'est partie pour la rédaction du devoir, relecture par mon amoureux pour vérifier que je n'ai oublié trop de mots dans ma tête et à 14h23 (trop en avance la fille, on avait jusqu'à 18h :p) c'est déposé !

Youpi c'est parti, pour la 4ème année, j'avance dans mon parcours de psycho step by step !


Et je le vérifie à chaque fois, je kiffe !

Comme il m'arrive dans mon activité professionnelle de coacher des dirigeants, je me suis dit que j'allais faire mon devoir en choisissant un article sur le vaste sujet des émotions et du leadership. Si vous avez d'ailleurs envie de découvrir cet article, CLIQUEZ ICI !

Et parce que je suis généreuse et que j'aime partager, voici quelques propos, lus dans mon cours, qui malgré l'heure tardive m'ont interpellée, peut-être que certains vous "parleront" aussi :

• Les émotions assureraient au moins 2 fonctions essentielles : l'adaptation (et/ou l'ajustement) et la communication (et/ou la coordination sociale).

• Nous référons à des catégories comme la peur ou la joie pour décrire les émotions.

• La complexité de la nature de l'émotion humaine a longtemps empêché l'élaboration d'une définition univoque du concept. (...) Un consensus a émergé à ce jour pour définir l'émotion comme un phénomène multi componentiel, réductible à 5 composantes : Les changements physiologiques, les comportements expressifs, les tendances à agir de façon spécifique, les évaluations cognitives et les sentiments subjectifs.

• Les émotions, primaires ou discrètes, seraient associées à des patterns hautement différenciés de réponses physiologiques et comportementales, génétiquement programmés et directement impliquées dans la survie de l'espèce. En accord avec cette hypothèse, des enfants issus de différentes cultures se sont révélés capables de produire et reconnaître l'expression faciale et vocale d'au moins 5 émotions fondamentales : la joie, la peur, la tristesse, le dégoût et la colère.

• Selon la théorie bi-factorielle de Schater & Singer, une émotion est déterminée par une interaction entre les composantes cognitives et physiologiques.

• Si pour des raisons, psychologiques ou physiologiques, on ne parvient plus à prendre de décisions, c'est précisément souvent parce que l'on n'est plus en mesure d'éprouver des émotions (et alors ça, c'est méga intéressant !!)

• L'amygdale, noyau sous-cortical situé dans la partie supérieure du lobe temporal, est sans doute la star la plus étudiée en sciences affectives car son implication dans les processus émotionnels est célèbre :)

• Exprimer des émotions permet également de réguler, synchroniser et évaluer la qualité des interactions interpersonnelles. Les émotions permettent d'exprimer l'amour et le désir mais surtout la relation de hiérarchie et de dominance...

• Il est certain à ce jour que les émotions contribuent à sélectionner l'information pertinente dans l'environnement, facilitent les interactions sociales et biaisent la prise de décision...

• La colère contribuera à une faible perception du risque, alors que la peur entraînera une perception élevée du risque.

• La "Théorie du regret" par Zeelenberg & Pieters repose sur les notions suivantes : puisque les individus sont fortement aversifs au regret, ils effectueront leurs choix de façon à éviter le regret ou adapteront leur comportement de façon à en ressentir le moins possible dans les choix ultérieurs. (...) D’après cette théorie : le regret repose sur la décision prise par un individu, elle est en conséquence associée à un fort sentiment de responsabilité.

• Les enfants commenceraient à ressentir du regret à partir de l’âge de 5 ans (Weisberg & Beck). Le soulagement pourrait quant à lui être ressenti à partir de l’âge de 6-7 ans. L’anticipation du regret se développerait quant à elle de façon plus tardive, les enfants seraient capables d’anticiper cette émotion à partir de l’âge de 7-8 ans (McCormack & Feeney). De plus, chez les enfants comme chez les adultes, ces émotions reposent sur un sentiment de responsabilité (lorsque le choix est effectué par le participant lui-même et non imposé par un tiers).

• Lorsque que les décisions sont prises en groupe, on ose prendre plus de risque et on garde cette décision comme sienne une fois sorti(e) du groupe. (...) Au-delà de l’augmentation de la prise de risque, le consensus de groupe a pour effet d’accentuer l’expression des opinions.

• Un individu qui prend des risques fait l’objet de jugements positifs. Il est donc probable que les individus défendant une option risquée suscitent davantage d’intérêt que les autres, qu’ils soient plus appréciés et finalement plus suivis.

• La discussion de groupe renforce ce que l'on sait déjà.

• Il est fondamental, dans une discussion en groupe, que les émotions positives soient identifiées comme la conséquence d’une collaboration (et non d’une volonté de compétition) pour permettre un véritable échange des arguments.

• Contrairement aux représentations naïves, le groupe comme lieu libre d’échange ne se construit pas par une mise à l’écart des expressions émotionnelles mais par un contexte social où les émotions exprimées concourent positivement aux échanges.
 
 
 
 


lundi 21 septembre 2015

Plus déterminée que jamais…

La vie dans ce qu’elle a de plus insensé, dans ce qu’elle a de plus cruel, a pris une tournure violemment inattendue. J’en parle ici.

Après cela, mon cerveau n’a pas pu retourner aux révisions, et j’ai rapidement décidé de ne pas forcer les choses…

Ces malheurs, qu’ils nous touchent de près ou de loin, peuvent nous re-déterminer à donner du sens à cette vie qui nous paraît parfois si injuste...
C’est exactement, ce que j’ai décidé.
Et, même si je n’ai validé aucune matière cette année, ma détermination, à aller jusqu’au bout de cette formation (que j’ai choisi pour apprendre encore et toujours, m’enrichir intérieurement afin de pouvoir soutenir au mieux mes interlocuteurs), n’en a été que renforcée !

Motivation au top, en effet... (ce qui me connaissent bien en rirons) j’ai pris le taureau par les cornes pour me libérer d’un blocage, ancré en moi depuis de nombreuses années… J’ai décidé d’arrêter de croire que « j’étais nulle en maths » pour valider sereinement les épreuves de statistiques, indispensables à la validation du cursus de Psychologie (Hélas ! :-))

Comment je fais ?
Alors que ma réinscription à Paris 8, pour cette année, est en cours, j’agis déjà avec la ferme intention d’avoir une super note en « Statistiques » !

Oui ! Comme pour beaucoup d’entre nous, l’école a laissé en moi cette impression qu’une part de moi était « non-adaptée » au système, ce qui se confirmait d’ailleurs par mes notes en maths, et la façon dont mon père s’arrachait les cheveux à essayer de m’expliquer cette étrange matière…
Et j’étais bien persuadée de ne jamais avoir à me rapprocher de cette sensation « d’échec »…
Et bien non ! A plus de 40 ans me voici « obligée » de dépasser ce blocage et en fait si on y réfléchit bien : d’accepter que je suis capable de relever tous les défis et donc de dépasser l’image « que l’on m’a collée » ;)

Alors, pour essayer de me « débloquer », j’ai regardé le très chouette documentaire « Comment j’ai détesté les maths » avec Cédric Villani (Médaille Fields 2010)

et j’ai trouvé tous ces mathématiciens forts sympathiques, et je suis sentie moins seule, car on est des millions à penser que nous sommes « nuls » en maths !
Cependant, il me fallait une action concrète… Car oui, si j’avais pu me mettre à m’entrainer seule, depuis que je me suis inscrite en psycho, et bien je serais au courant…

Et le « hasard » faisant bien les choses… Il a fait que je suis « tombée » sur  le blog de Matthieu Cisel qui présentait le MOOC « Introduction à la statistique avec R » et devinez quoi ? C’est le logiciel que j’avais utilisé d’une demie journée à la fac, lors du TP Statistiques… Et là sans réfléchir, je me suis inscrite au MOOC !!!

La première semaine était déjà commencée, mais même pas peur !
Ça dure jusqu’au 20/25 octobre !

Les formules statistiques comme matière pour maîtriser l’utilisation d’un logiciel, voilà qui me parle… Et pour l’instant, je m’en sors pas mal !
Je vous raconterai ;)


vendredi 28 août 2015

Nuit blanche au pays « de la notion de preuve en Psychologie »

Les critères de scientificité en recherche qualitative… Tout un programme !

Je le partage sans honte, je crois que durant la première heure de lecture (de l’article à étudier)… Je n’ai rien compris à ce que je lisais ! J’avais cette sensation bizarre de lire une langue que je comprenais phonétiquement sans comprendre le sens des mots.
J’ai d’ailleurs « croisé » de jolis mots, en « isme » « iste », souvent au minimum à 5 syllabes, presque poétiques. Ceux que j’aurai le plus lu cette nuit : « scientificité » et «épistémologique ».

16 pages de notes plus tard… que dire…

J’ai compris que les chercheurs qualitatifs, comme les quantitatifs, ont des critères et des méthodologies à appliquer avec rigueur tout en évitant la rigidité (pas fastoche, fastoche donc…)
J’ai aimé lire qu’il serait difficile d’imposer avec force ces règles « d’enquête » à l’homme (qu’il soit chercheur ou sujet), dont la priorité est de ne justement pas suivre de règles méthodiques ! Ah ah ah ! Sommes-nous « basiquement » rebelles ?
La subjectivité du chercheur, même si elle complique l’entreprise de la recherche, a donc un intérêt, à condition que le chercheur ait préalablement bien identifié ses motivations à mener telle ou telle enquête, pour ne pas juste chercher ce qu’il espère trouver !
MAIS POURQUOI ? (me direz-vous… avec une angoisse digne de celle que l’on peut éprouver en lisant LE roman policier de l’été)
Et la réponse arrive :
Car il a la responsabilité d’assurer la crédibilité de ses découvertes en instaurant des balises propres à son positionnement épistémologique ! Et ouais messieurs-dames !


En conclusion : Les recherches qualitatives et quantitatives sont donc bien différentes et distinctes, chacune ayant ses intérêts, ses méthodes et ses critères !

Sur ce, je vous souhaite une bonne journée ! A bon entendeur…


mercredi 26 août 2015

Il est revenu le temps des révisions !

Et hop, comme toujours à cette période, depuis 4 ans, c'est le moment où j'écris un petit article pour partager mon défi !

Et oui, déjà 4 ans ! Et je continue !

Comme d'habitude, j'ai espéré pouvoir réviser plus tôt...
Comme d'habitude, je vais m'y mettre au dernier moment... On est à J-12 du début des exams et comme d'habitude, on ne peux pas dire que j'ai commencé à réviser.

Mais l'expérience de ces 3 précédentes années, fait que je sais que je ferai mon maximum et que faire un pas de plus... c'est avancer.

Le moment est venu d'avancer, de plonger dans les bouquins, de télécharger les cours depuis la plateforme, (en plus du reste) et de veiller la nuit... ;)

Je déclare ma micro-période annuelle de révisions ouverte !
:-)

It's time to connect...

Come On !!!